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La règle de Bovis (première partie)

Tous les amateurs de radiesthésie et de géobiologie utilisent à un moment donné, la règle de Bovis, afin de déterminer la qualité vibratoire d’un aliment, d’un lieu…. Afin de bien comprendre ce dont il s’agit, voici quelques explications sur Bovis et sa célèbre règle.

 

 

ANDRÉ BOVIS ET SES RECHERCHES SUR LES ALIMENTS

Passionné de radiesthésie, André Bovis était un chaudronnier originaire de Nice.  Dans les années 1930, ses investigations personnelles lui permirent d’établir une échelle de valeur afin de quantifier l’énergie vitale* contenue dans les aliments. Pour bien comprendre le principe, il suffit par exemple d’observer une pomme dans un pommier, puis le lendemain de sa cueillette, puis 1 semaine après la cueillette, 3 semaines après la cueillette etc. Quand la pomme est encore dans l’arbre, elle contient le maximum d’énergie vitale. Ensuite, cette énergie diminue d’intensité à partir du moment où le fruit est séparé de son arbre, et ceci continue au fur et à mesure des jours et de semaines. C’est la raison pour laquelle, outre le flétrissement, il est toujours conseillé de manger certains légumes, et notamment les salades, aussitôt après la cueillette. La salade est un légume très riche en énergie vitale, mais elle la perd très rapidement **.

 

 

André BOVIS, qui cherchait à mesurer la vitalité intrinsèque des aliments, avait conçu une règle graduée de 0 à 10 000, appelée biomètre, dont l’unité de mesure est l’angström. Pour raison de facilité, ces angströms furent ensuite convertis en « Bovis », ou « unité Bovis »  par les utilisateurs de la règle du même nom. Aujourd’hui, les « unités Bovis » sont souvent dénommées « UB » dans de nombreux ouvrages de  radiesthésie. Ainsi peut-on lire 5000 ou 6500 UB, et non plus 5000 ou 6500 angströms.

 

règle ancienne Bovis

Extrait du tableau d’époque :
TABLEAU DES ONDES CONNUES
avec la situation des ondes relatives à notre hypothèse sur la vie
NOTA : les longueurs d’ondes des métaux et des vitamines nous ont été indiquées par M. Bovis

 

Pour utiliser sa règle, BOVIS avait mis au point un pendule spécifique, en cristal avec une pointe métallique, suspendu à un cordon de soie rouge et violette. Il positionnait un aliment à l’extrémité de son biomètre, au-dessus duquel il déplaçait ensuite lentement son pendule depuis le point zéro.  Le pendule de cristal  se mettait à tourner lorsqu’il arrivait au-dessus de la graduation de la règle qui correspondait à la longueur d’onde vitale de l’aliment.L’amplitude du mouvement et la rapidité de la giration du pendule étaient considérés par Bovis comme des indicateurs de l’intensité des radiations vitales.

Bovis avait à l’époque découvert que l’énergie vitale contenue dans chaque aliment rayonnait de celui-ci (comme le montre la photo Kirlian**), et avait avancé également que la longueur d’onde de cette énergie, était mesurable en angströms. Aucun instrument scientifique n’existait alors pour contrôler cette affirmation, aussi l’unique outil d’investigation d’André Bovis fut le pendule radiesthésique. Le choix de l’angström comme unité de mesure n’était qu’une extrapolation personnelle de la part de Bovis, et l’on sait aujourd’hui que ce choix ne correspond à aucune réalité scientifique. Quoiqu’il en soit,les travaux radiesthésiques effectués par Bovis lui permirent:

– de donner une unité de graduation à sa convenance, lui permettant ainsi de quantifier l’énergie vitale des aliments qu’il testait (en fait c’était une convention personnelle*** pseudo-scientifique)

– de proposer à tous les radiesthésistes une même unité de mesure et ainsi travailler plus facilement entre eux en faisant des comparaisons avec une même échelle de valeur universelle.

 

BIOMÈTRE ou RÈGLE DE BOVIS

 

biomètre ou règle nouvelle de Bovis

 

Un aliment dont l’énergie vitale est à 6500 UB (unité Bovis) est un aliment « normal ». Ni trop fort, ni trop faible. En dessous il est, selon le nombre d’UB, qualifié d’aliment « faible », « pauvre » et même  « mort » quand il est proche de 0 (lorsqu’on mesure un aliment pourri ou en conserve on obtient 0, selon Bovis lui-même). Au-dessus de 6500 se trouvent les aliments « forts » ou « riches ».

recherche radiesthésique valeur énergétique pomme sur un arbre

 

 

radiesthésiste utilisant la règle de Bovis pour évaluer l’énergie vitale d’une pomme dans l’arbre :

7000 UB

 

 

recherche radiesthésique valeur énergétique framboise sur un framboisier

 

 

 

 

 

 radiesthésiste utilisant la règle de Bovis pour évaluer l’énergie vitale d’une framboise dans le framboisier :

8000 UB

 

 

 

 

recherche radiesthésique valeur énergétique pomme après cueillette

 

 

3 heures après la cueillette :

6500 UB

 

 

 

 

 

 

recherche radiesthésique valeur énergétique framboise après cueillette

 

3 heures après la cueillette :

7000 UB

 

 

 

 

 

48 heures plus tard pomme: 5000 UB
48 heures plus tard framboise : 3000 UB

 

QUELQUES RÉSULTATS OBTENUS PAR ANDRÉ BOVIS

0 : fruits pourris ou conserves de fruits crus

0 : conserves légumes crus, cuits

0 : conserve de poissons, de viandes

3000 : fruits verts vendus aux halles de Paris

3000 : artichauts crus vendus aux halles de Paris

3000 : beurre de 12 jours

entre 4000 et 6000 :  fruits et légumes déshydratés, oeuf de 8 jours

6500 : salade verte ordinaire, petits pois cuits à l’eau, sel de cuisine (frais)

de 6500 à 9000 : poire, pommes, framboises… très fraiches, carottes très fraiches, noix fraiches, blé germé etc.

 

* selon les principes orientaux, l’énergie vitale est une énergie invisible qui anime tous les organismes vivants. Elle porte différents noms : « chi » en Chine, « ki » au Japon, mais aussi « souffle de vie », « universion » etc. Le feng-shui est une discipline dont le but est d’amener cette énergie universelle vers l’habitat et de d’ensuite la faire circuler dans chaque pièce, ni trop vite, ni trop lentement, tout en lui donnant, si nécessaire, une « information » particulière.

** depuis les travaux de Bovis, les époux Kirlian -avec leur célèbre «  »effet kirlian » ou « photo kirlian »- ont permis scientifiquement de mettre en évidence la présence de l’énergie vitale d’une feuille d’arbre, puis sa disparition au fur et à mesure des jours, après que celle-ci ait été prélevée sur la branche. Un procédé d’investigation plus récent, la « cristallisation sensible » ou « thésigraphie », aboutit aux mêmes conclusions.

*** les radiesthésistes établissent des conventions personnelles qui bien souvent ne reposent sur aucune réalité universelle. Cela importe peu. La convention doit être considérée comme une logique mentale personnelle. Sa destination est de permettre à son concepteur d’obtenir de bons résultats. Ainsi certains sourciers calculent la profondeur d’un courant d’eau en marchant avec leur baguette, depuis l’aplomb de l’eau. Ils comptent mentalement les pas effectués, et quand leur baguette s’abaisse, ils arrêtent de compter. Le dernier nombre obtenu correspond au nombre de mètres recherché, même si les pas ne font pas exactement 1 mètre ! D’autres comptent les pièces de monnaie qu’ils auront empilées sur le dos de leur main, jusqu’à la giration du pendule. Ensuite, ils convertissent le nombre obtenu en mètres. Il n’y a bien sûr aucun rapport entre les pièces et les mètres… seules comptent les unités. Ces sourciers obtiennent bien souvent des résultats d’une précision exceptionnelle, qu’ils n’obtiendraient pas si on leur imposait une convention qui ne soit pas à leur convenance.